Conclusion

On a remarqué au cours de nos recherches que l’on employait les mots « phosphorescent » et « fluorescent » en faisant souvent l’amalgame.

 

Nous avons aussi marqué la différence entre les objets « phosphorescents » ou « fluorescents ». Ces derniers, après avoir été éclairés, réémettent de la lumière visible d’une intensité plus importante que celle de la lumière reçue. La fluorescence se distingue de la phosphorescence par sa durée de réémission qui est quasi-instantanée contrairement à celle de la phosphorescence qui tarde.

 

Les applications de ces derniers est variés et plutôt différentes, les routes phosphorescentes, la fluorescence dans le médical...

 

 

 

 



Nous avons vu que la phosphorescence est un peu utilisé pour la sécurité sur les routes. Nous avons donc pensé que si on utilisait de la peinture phosphorescente pour les façades extérieurs des murs, ou alors des molécules phosphorescentes pour les ciments utilisés pour les trottoirs, grâce à l'énergie absorbé le jour, de la lumière serait émise une fois la nuit tombée. Certes la peinture phosphorescente coûte un peu plus cher que de la peinture normale, mais quelques années plus tard, cela nous reviendra moins cher que l'électricité, et ainsi on fera  des économies pour l'éclairage des rues.

Peut-on espérer cette technique dans les années à venir?